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WOERTH [sur III] ou WERDE, comtes et landgraves de

Les archives des Woerth sont dispersées ou perdues ; on n’a d’eux ni cartulaire, ni censier, ni livre de fiefs. Leurs actes n’ont jamais été réunis (j’y travaille). Dans ces conditions, la présente notice est éminemment provisoire.

La branche aînée des comtes de Saarbrücken, implantée en Alsace avant 1110, prend avant 1144 le nom de Frankenburg © et à partir de 1185 (RI IV/3 n° 4) celui de Woerth, d’abord en alternance avec Frankenburg, et à partir de 1210 exclusivement. Ce changement de nom a lieu sous Sigebert IV, qui meurt vers 1227, après avoir fondé Stephansfeld (1216?) et reçu le landgraviat de Basse-Alsace (aux Hüneburg © jusqu’en 1175, puis laissé vacant par l’empereur jusqu’en 1196 au moins), sans doute aussi l’avouerie d’Erstein, et peut-être déjà (une part de?) Hohkoenigsburg. Ce sont là les dernières acquisitions connues du lignage. Sigebert IV laisse deux fils, cités depuis 1207 (Regesten der Bischöfe von Strassburg, Innsbruck, 1908, II 760) : Dietrich hérite les seigneuries de Rixingen/Réchicourt, Mörsberg/Marimont (à Bourdonnay), Geblingen/Guéblange et Forbach (Moselle), et prend le nom de la première ; après sa mort en 1272 (Archives départementales de Meurthe-et-Moselle, H 601), ses fils Heinrich von Forbach et Konrad von Rixingen se les partagent. Dietrich et sa descendance ne jouent plus de rôle dans l’histoire d’Alsace, sauf qu’un cadet de cette lignée a encore été casé au chapitre cathédral de Strasbourg (Schulte, Levresse). Heinrich, fils aîné de Sigebert IV, connaît déjà des difficultés financières: il emprunte 600 marcs d’argent à sa femme Élisabeth von Montfort (Vorarlberg) en 1238 (Senckenberg 105) et meurt la même année (au plus tôt en octobre : RI V/1, 2397), sans enfants ; mais sa femme est enceinte et accouche peu après d’un fils, baptisé Heinrich, mais plus connu comme Sigebert (V). Leur situation est critique : les princes dont les Woerth tenaient des fiefs font mine de les leur retirer, prétextant l’absence de fils au moment du décès de Heinrich (Monumenta Germaniae Historica Scriptores, 17, 179 I. p. 3-7, confirmé pour Hohkoenigsburg par Senckenberg 106 & Rappoltst. UB I n° 82). Sans doute pour ne pas être seule devant ces difficultés, Élisabeth se remarie dès février 1239 avec le Wildgraf Emicho (Senckenberg 109). Avec lui, elle s’efforce de récupérer son douaire et son prêt, allant jusqu’à faire courir le bruit que son fils est illégitime (Monumenta Germaniae Historica Scriptores, 17, 203 I. 3) et à spéculer sur sa mort (AD I 401 n° 535) ; ce n’est qu’en 1265 qu’elle obtient Hipsheim, Woerth/Sauer, les droits comtaux dans l’Uffried (tenus en commun avec les Fleckenstein ©) et une rente sur Brumath (AD I 452). Ces aliénations affaiblissent les Woerth sans profiter aux Wildgrafen, trop éloignés pour pouvoir les garder.

Heinrich/Sigebert épouse à 16 ans Gertrud von der Dicke, nièce de l’évêque Heinrich von Stahleck (Regesten der Bischöfe von Strassburg, Innsbruck, 1908, II 1457) ; leurs enfants sont Johann, Sigebert, chanoine de Strasbourg (1265-96) et Susanne, mariée avant 1278 avec Walter von Geroldseck-Lahr © (C. Bühler, Herrschaft Geroldseck, 1981, 57, 79, 170). Veuf, il se remarie en 1269 avec Bertha, fille d’Ulrich von Rappoltstein ©, dont il a Ulrich, Egenolf et Philipp. En 1262, il soutient l’évêque Walter, son parent, contre la ville de Strasbourg, et est fait prisonnier à Hausbergen (Monumenta Germaniae Historica Scriptores, 17, 111 I. 40). Il meurt le 13 février 1278 (Monumenta Germaniae Historica Scriptores, 17, 203 I. 3). Ses fils Johann, du premier, et Ulrich, du 2e lit, exercent alors ensemble l’office de landgrave. Johann multiplie les imprudences: en 1280, il s’allie contre le roi Rudolf avec le comte Egeno von Freiburg, qui doit se soumettre dès 1281 (CAOU I n° 430, 484-85); s’étant livré à des voies de faits sur les religieuses de sa ville d’Erstein « dans la légèreté irréfléchie de sa folle jeunesse », il est condamné la même année à une pénitence (Regesten der Bischöfe von Strassburg, Innsbruck, 1908, II 2091 ; les motifs que lui prête Friedel, 267, sont une pure invention). En 1293, il se joint au soulèvement des partisans des Habsburg contre le roi Adolf, mais celui-ci prend « sans peine » son château de Woerth, et Johann doit demander grâce (Monumenta Germaniae Historica Scriptores, 17, 220 & 260-61). De son mariage avec Agnes von Lichtenberg © (CAOU I n° 343), il a un fils, Simund, marié à Alix de Blâmont (J. de Pange, Ferri III n° 1396), et à qui il transmet de son vivant la seigneurie d’Erstein (Friedel 270-75). Johann et Simund meurent tous deux en 1308 et sont enterrés ensemble chez les Franciscains de Sélestat (Al II 534 & pl.). Ulrich, resté seul détenteur du landgraviat, prend en 1314 le parti de Ludwig von Wittelsbach contre son compétiteur Friedrich von Habsburg. Celui-ci, soutenu par l’évêque de Strasbourg, a l’avantage en Alsace, de sorte qu’Ulrich doit se soumettre dès 1315 (Monumenta Germaniae Historica Const., V 212). Nommé Landvogt d’Alsace par le roi Ludwig en 1324, il reprend le combat, mais les Habsburg détruisent les murailles de sa ville de Saint-Hippolyte, et il doit à nouveau s’incliner en 1324 (Monumenta Germaniae Historica Const., V n° 972). Ces revers aggravent les difficultés financières des Woerth, croissantes depuis bientôt un siècle, à en juger par leurs multiples aliénations et mises en gage. En 1331, Ulrich vend Niederbronn aux
Ochsenstein © (LU I 373, inexact), et en 1332 les seigneuries de Brumath et de Gross-Arnsberg aux Lichtenberg © (LU I 383-92), famille à laquelle appartiennent sa femme (LU I 271) et celle de son fils Johann (LU I 388). En même temps, mais probablement en sous-main, il vend le landgraviat à son gendre Friedrich von Oettingen et au frère de celui-ci (Acht 4, 42 n. 3), de sorte que lui-même et son fils n’ont plus que des bribes de leur seigneurie – ce qui ne les empêche pas de continuer à porter le titre de landgraves. Ulrich meurt le 16 septembre 1344; il est enterré avec son frère, le chanoine Philipp († 1er juillet 1332), à Saint-Guillaume à Strasbourg (monument funéraire de Woelfelin de Rouffach). Comme le landgraviat a passé à son gendre et non à son fils Johann, Schoepflin (Al II 529) a cru que ce dernier était physiquement inapte, ce qui n’est pas prouvé, et d’autres qu’il était débile, ce qui est faux: il donne son accord aux actes de son père et en passe sous son propre sceau (p. ex. Archives municipales Erstein CC 1 :1347), fonde une primissairie à Dieffenbach (Archives départementales du Bas-Rhin, G 3465 f° 33v n° 17) et son anniversaire chez les Franciscains de Strasbourg (Archives municipales de Strasbourg charte 1995, avec son sceau). Il meurt le 24 juillet 1376, sans laisser d’enfants, et est enterré à la chapelle du château de Bouxwiller (dessin de sa pierre tombale: Al II 553).

Le déclin des landgraves de Basse-Alsace a donc été presque aussi spectaculaire que l’ascension de ceux de Haute-Alsace,les Habsburg ©. Le parallèle entre les deux lignages est boiteux : dès avant 1273, les Habsburg avaient un territoire allant du Saint-Gotthard au col de Steige, alors que celui des Woerth, à part quelques biens en Lorraine, passés vers 1227 aux Rixingen, ne dépassait guère les limites de leur landgraviat. Il semble pourtant avoir été fort respectable à l’origine ; mais comme on ne le voit apparaître qu’au fur et à mesure de son effritement, il est difficile de s’en faire une idée précise. Il s’étendait sur le Ried-Nord (l’Uffried, mais aussi Drusenheim, Offendorf, etc.), le Hattgau, les Vosges du Nord (Woerth & env., Nieder- et Oberbronn & env. avec Gross-Arnsberg et peut-être Wasenburg, prétentions sur Winstein). De là, quelques villages du Hanauerland faisaient le lien avec un vaste ensemble autour de Brumath – il s’étendait de Harthouse à Lampertheim – par ailleurs relié aux biens du Ried-Nord par Weitbruch, Gries, etc. Plus au Sud, les Woerth possédaient une bande de terre s’allongeant de Duppigheim à Baltzenheim, autour de Geispolsheim, d’Erstein et de Werd (aujourd’hui commune de Matzenheim). Enfin, autour de Frankenburg et du Grafenbann (versant Sud du Val de Villé) se groupaient Hohkoenigsburg et Saint-Hippolyte, des biens à Châtenois, le péage des vallées de Villé & de Lièpvre, Colroy-Ia-Grande. Ajoutons-y des biens isolés comme le patronat de Saint-Pierre-le-Vieux à Strasbourg, Bergbieten et Flexbourg (auxquels viennent s’adjoindre avant 1330 Balbronn et Westhoffen), le patronat et la dîme de Griesheim près Molsheim et Bischoffsheim, des biens à Guémar et autour d’Ammerschwihr, etc. Cette énumération dans un ordre purement géographique ne tient pas compte de la chronologie (on ignore quand les Woerth ont acquis la plupart de ces biens), ni des rapports féodaux (autour d’Erstein, qui relève de l’Empire, Geispolsheim, Werd et de nombreux villages sont fiefs épiscopaux – certains, mais pas tous, depuis l’oblation de 1232 : Regesten der Bischöfe von Strassburg, Innsbruck, 1908, II 987 – Hipsheim & Schaeffersheim fiefs de Murbach (Archives départementales du Haut-Rhin, 9G fiefs 1/1 p. 2), d’autres sont allodiaux; Frankenburg est fief épiscopal, du moins au XIVe s., Hohkoenigsburg fief lorrain ; etc.). Elle mentionne à la fois les biens que les Archives départementales du Haut-Rhin ont gardé en main et ceux, plus nombreux, qu’on ne connaît que comme fiefs tenus d’eux, sans savoir depuis quand, ni même si les Woerth les ont auparavant possédé eux-mêmes – ce dont on peut parfois douter, surtout lorsque des ministériaux de l’évêque tiennent des Woerth des fiefs sur les terres épiscopales : les Landsberg © à Gueberschwihr (Zeitschrift für die Geschichte des Oberrheins, 28, 1876, p. 96), les Blide à Saint-Pierre-le-Vieux (Regesten der Bischöfe von Strassburg, Innsbruck, 1908, II, 1067), les Kagen © à Vendenheim (ibid. 1575) – voire les Hohenstein © à Bergbieten (et à Hohkoenigsburg ?). Tout se passe comme si l’évêque avait repris aux Woerth d’une main ce qu’il leur inféodait de l’autre, en les convaincant de le sous-inféoder à des hommes à lui.

Les Woerth ont fortifié trois villes sur leurs terres : Erstein avant 1260 (Urkundenbuch der Stadt Strassburg, I 347), Brumath avant 1280 (Archives du Chapitre de Saint-Thomas, déposées aux Archives municipales de Strasbourg, A XXVa 8), Saint-Hippolyte avant 1303 (Archives départementales du Haut-Rhin, 33H 7 f° 309v). La première, qu’ils ont tenté de pressurer avant de la donner en gage – jusqu’en 1321 à leur gendre Johann von Habsburg-Laufenburg (Archives municipales Erstein, AA 2), puis depuis 1329 aux Horburg, qui en sous-engagent la moitié aux Geroldseck über Rhein © – a vu son enceinte définitivement rasée en 1333 par la faute de ces derniers ; celle de Saint-Hippolyte – à qui la concurrence de Sélestat, Ribeauvillé et Bergheim laissait peu de possibilités de croissance – a été rasée en 1324 (Monumenta Germaniae Historica Scriptores, n.s. 4, 131), mais rebâtie; celle de Brumath a subsisté jusqu’en 1389, mais la proximité de Strasbourg et de Haguenau n’a pas permis à la ville de connaître un grand développement ; au début du XIVe siècle, ses vrais maîtres semblent être les Burgmannen landgraviaux.

Chacune de ces villes a eu son château, mais, chose singulière, rien ne prouve que les Woerth aient jamais possédé un seul d’entre eux. En revanche, outre les châteaux déjà cités, ils ont tenu ceux de Woerth-sur-Sauer jusqu’en 1265 (AD I 452), de Weyersburg à Val-de-Villé (Archives départementales du Haut-Rhin, E 2383, 2391), et une tour à Geispolsheim (AD II 157).

La seule abbaye dont les Woerth aient eu l’avouerie est Erstein ; on ignore quand et comment ils l’ont acquise – en tout cas après 1192 (Regesten der Bischöfe von Strassburg, Innsbruck, 1908, I 665, 670), voire 1241 (Monumenta Germaniae Historica Constit. III 3), à une époque où elle était déjà en déclin. Leur seule fondation assurée est l’hôpital du Saint-Esprit à Stephansfeld, destiné aux enfants trouvés, en 1211 (D. Specklin, Collectanées, 858) ou plutôt 1216 (A. Hessel, Els. Urkunden, 1915, n° 3). On a aussi voulu leur attribuer celle de Saint-Guillaume de Strasbourg (Zeitschrift für die Geschichte des Oberrheins, 63, 1909, p. 455), mais le fait qu’Ulrich et Philipp y sont enterrés ne prouve rien. Les Woerth du XIVe s., en tout cas, ne font pas élection de sépulture à Stephansfeld ; on ignore où leurs prédécesseurs avaient leur tombe.

Que restait-il du landgraviat lorsqu’il a été conféré aux Woerth (1196 au plus tôt) ? D’abord une dotation territoriale (Amtsgut), que Heinrich VI n’a conféré aux Woerth qu’amputée – de Donnenheim en tout cas (AD I 377), peut-être aussi des Grafschaftsdörfer du Kochersberg et de la moitié des droits comtaux en Uffried que tiennent plus tard les Fleckenstein (AD I 452 ; cf. P. Muller, 208- 09) ; on ignore en quoi elle consistait par ailleurs. Ensuite la juridiction sur les hommes libres en Basse-Alsace, dont l’exercice par les Woerth n’a laissé que des traces infimes (Regesten der Bischöfe von Strassburg, Innsbruck, 1908, II 923 ; CAOU III, n° 1924). Enfin, dans le Hattgau et l’Uffried, le terme de Landgericht (tribunal landgravial) recouvre des droits de justice étendus, du moins à l’époque où, après la déconfiture des Woerth, les Lichtenberg et les Fleckenstein se les disputent (P. Muller, 194-95). Lorsqu’en 1359 les Oettingen vendent à l’évêque ce qui reste de la seigneurie des Woerth, les fiefs épiscopaux (Woerth, Frankenburg & dépendances) sont estimés 20 000 fl., les fiefs lorrains (Hohkoenigsburg et Saint-Hippolyte) 10 000 fl., mais les fiefs impériaux (le landgraviat et Erstein) ne sont pas chiffrés (AD II 225-230). L’institution landgraviale n’a eu un poids réel que là où un lignage puissant en disposait (Haute- Alsace, Thuringe/Hesse) ; ce n’était pas le cas des Woerth.

Politiquement, les Woerth. n’ont pas eu la main heureuse. Au XIIIe siècle, ils se sont mis à la remorque des évêques de Strasbourg – en échange de fiefs qui, on l’a vu, ont surtout profité à des vassaux épiscopaux – et ont ainsi été entraînés dans leurs défaites de 1262 et de 1293. Au XIVe siècle, ils s’opposent aux évêques Johann et Berthold en prenant parti pour Louis de Bavière, mais ne récoltent, là aussi, que des déboires.

On peut se demander si une cause de l’échec des Woerth n’est pas qu’aucun d’entre eux, clerc ni laïc, n’avait d’envergure. Mais on risque là de mettre sur le compte de leurs personnalités (qui nous échappent presque entièrement) ce qui tient à l’insuffisance de leurs ressources.

G. C. S[enckenberg], De occasu inferioris Alsatiae landgraviorum sive comitum de Werde, in Parerga …, Gottingensia I/2, 1736, p. 101-123 (éd. 6 chartes) ; J.D. Schoepflin, Alsatia illustrata, II, 1761, p. 520-538 (av. arbre généal., tableau synoptique des landgraves de Haute & Basse-Alsace, gravure de monuments funéraires ; cité Al) ; trad. fr. par L. W. Ravenez, L’Alsace illustrée, V, 1852, 480-504 ; J. D. Schoepflin, Alsatia … diplomatica, 2 vol. 1772-75, index (cité AD) ; J. Fr. Böhmer & alii, Regesta Imperii, 1831-2002 (cité RI) ; W. Franck, Die Landgrafschaften des hl. römischen Reichs, 1873, 112-120 (dépassé). M. du Prel, in Das Reichsland Elsa?-Lothringen, I, 1901, 275-77 (aperçu des biens des Woerth, erreurs) ; W. Wiegand, Zur Geschichte der Hohkoenigsburg, 1901 (éd. chartes); Ed. Sitzmann, Un castel féodal ou le château de Werde et ses propriétaires, 1912 [paru d’abord in Revue catholique d’Alsace 25.1906 à 30.1911 ; histoire des Woerth uniquement d’après les sources imprimées avant 1880, car E. Sitzmann se fonde trop exclusivement sur les notes d’E. Mertian ©] (très insuffisant) ; Sitzmann, Dictionnaire de biographie des hommes célèbres de l’Alsace, Rixheim, t. 2, 1910, p. 971-75 (fondé sur le précédent) ; R. Friedel, Geschichte des Fleckens Erstein, 1927 (index sous Werd) ; Al. Schulte, « Aus dem Leben des Stra?burger Domkapitels 1152-1332 », Elsass-Lotringisches Jahrbuch, 6, 1927, p. 1-46 ; Fr. Wilhelm & alii, éd., Corpus der altdeutschen Originalurkunden bis 1300, 5 vol. 1929-90 (sans index ; cité CAOU) ; Fr. Eyer, Das Territorium der Herren von Lichtenberg, 1938 (t reg. dactyl. [Archives départementales du Bas-Rhin, Archives municipales de Strasbourg, Archives des Monuments historiques], 1943) ; Fr. Eyer, « Die Landgrafschaft im unteren Eisa? », Zeitschrift für die Geschichte des Oberrheins, 117, 1969, p. 161-178 (peu sûr) ; R.-P. Levresse, Prosopographie du chapitre cathédral de Strasbourg 1092-1593 », Archives de l’Église d’Alsace, 34, 1970, p. 1-39 ; D. Schwennicke, Europäische Stammtafeln, NF VI, 1978, n° 151 ; Toussaint, Die Grafen von Leiningen, 1982 (index sous EIsa?, Forbach, Rixingen, Werd) ; Peter Müller, Die Herren von Fleckenstein im späten Mittelalter, 1990 (index sous EIsa?) ; F. Battenberg, Lichtenberger Urkunden, 5 vol. 1994-96 (index au t. 5 sous Unterelsa? & Woerth/Sauer [!] ; cité LU) ; P. Acht, éd., Regesten Kaiser Ludwigs des Bayern, 4, Die Urkunden aus dem Archiven & Bibliotheken des Elsasses, par J. Wetzel, 1998 (index sous EIsaß).

Bernhard Metz (2002)