Orfèvre strasbourgeois reçu maître en 1739, (C) (cité entre 1739 et 1785, appartenait à la paroisse catholique de Saint-Pierre-le-Jeune). Maître de la corporation en 1759, 1777-1778, 1785. Un ostensoir à l’église paroissiale de Baden-Baden et à Saint-Nicolas de Haguenau, des calices à Saint-Nicolas de Haguenau, à Notre- Dame des Tables à Montpellier et à Sainte-Madeleine de Strasbourg (dont un attribué), burettes et plateau à Montpellier (loc. cit.),chocolatière et gobelet au musée des Arts décoratifs de Strasbourg.
H. Haug, Alte und neue Strassburger Goldschmiedearbeit und Uhren, Strassburg, 1914, fig. 10; idem, L’Alsace française 1648- 1948, catalogue d’exposition, Strasbourg, 1948, n° 696 ; idem, Le siècle d’or de l’orfèvrerie strasbourgeoise, Paris, 1964, n° 56 (les Pick, p. 20, 56, 61); idem, L’orfèvrerie de Strasbourg, Inventaire des collections publiques françaises, Paris, 1978, n° 81, 89-95, 189 ; Artisans strasbourgeois du métal au XVIIIe siècle, Strasbourg, 1978, n° 67, 70.
Victor Beyer (1997)
