dit le fils puîné, maître de forges et conseiller général, (C) (★ Bitschwiller-lès-Thann 4.11.1766 † Saint-Ursanne, Suisse, 30.8.1834).
Fils de Jean-Pierre Bornèque fils, frère de 2. ∞ I Augustine-Victoire-Joséphine Rochet ; ∞ Il 8 pluviôse an II (27.1.1794) à Issenheim Marie-Marguerite Haffner, fille de Nicolas Haffner, marchand à Colmar ; ∞ III 28 thermidor an X (16.8.1802) à Saint-Ursanne Sophie-Élisabeth Tueffert (Pl), fille de Jacques-Christophe Tueffert, négociant à Montbéliard. D’abord directeur de la manufacture de fer blanc de Wegscheid, Bornèque fit partie de la Société des amis de la Constitution du canton de Masevaux (1794). Au début du XIXe siècle, il s’établit à Saint-Ursanne, Jura suisse, localité dépendant alors du département du Haut-Rhin, comme copropriétaire des forges du hameau de Bellefontaine, comprenant aussi un haut-fourneau et une tôlerie. Membre du Conseil général du Haut-Rhin sous l’Empire, il dut céder son siège au manufacturier Frédéric Hartmann, le 2.11.1814, puisque sa résidence ne se trouvait désormais plus en territoire français.
Jean-Marie Schmitt (1984)
