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Colloque organisé par Elisabeth Clementz, Faculté des sciences historiques, Strasbourg.
A l’occasion du centenaire de la fondation de l’Institut d’histoire d’Alsace

L’importance de l’honneur a été relevée à de nombreuses reprises par la recherche en histoire ces dernières décennies, quelle que soit l’époque considérée.

Il peut être défini comme “une valeur qui exprime un idéal moral en même temps qu’une conduite, un rang social” (Pitt-Rivers), ou comme “un capital social et symbolique” (Bourdieu). Il opère toujours dans des contextes sociaux concrets, qu’il s’agisse du village, des habitants de la ville, de nobles et de seigneurs et même de personnes qualifiées de marginales. L’honneur est un concept ambivalent : il concerne l’individu, mais aussi le groupe, qu’il s’agisse du lignage, du métier, de la corporation, de la confrérie, de la ville ou encore d’un groupe religieux.

En Alsace, la Réforme, la conquête française, les quatre changements de nationalité entre 1871 et 1945 ont contribué à lui donner une couleur spécifique que les diverses communications vont tenter d’éclairer.

Archives de la Ville et de l’Eurométropole de Strasbourg

Entrée libre