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WETZEL von MARSILIEN

Les Wetzel von Marsilien appartiennent à une des plus anciennes familles patriciennes de Strasbourg dont les membres, dès les origines, sont présents au Rat, figurent parmi les Hausgenossen et les Constofler et comme tels sont inscrits au poêle de la Haute Montée (zum Hohensteg). Dès le début du XIVe s. leurs noms sont précédés de la particule edel (noble) et un peu plus tard du qualificatif Ritter (chevalier), ce qui permet de conclure qu’ils font désormais partie de la noblesse. Deux chartes du XIIIe s. fournissent les premiers renseignements sur la famille qui restera établie à Strasbourg et en Alsace pendant six siècles et ne s’éteindra dans la branche masculine qu’en 1797. L’une de 1237, publiée par Helga Mosbacher en 1971 dans la Zeitschrift für die Geschichte des Oberrheins, p. 162-163, d’après une copie transcrite dans les Mandats et Règlements de la Ville de Strasbourg (Archives municipales de Strasbourg, R 13 f°98), l’autre, parue en 1879 dans l’Urkundenbuch de la Ville de Strasbourg, t. I n° 257. Dans les deux textes figure le nom de l’ancêtre commun du célèbre lignage : Heinz, Marsilius sun ou Henricus, filius Marsilius, membre du Rat de Strasbourg en 1237. Ceci explique pourquoi dans les premières générations apparaît régulièrement le nom de Marsilius et, à partir de la deuxième moitié du XVe s., lorsque le prénom Wetzel était devenu nom de famille, on ajouta à celui-ci von Marsilien, forme germanisée de Marsilius, pour bien commémorer le nom de l’ancêtre commun. Il ne s’agit donc pas d’un nom de lieu rappelant Marseille ou Marsal en Lorraine mais des rappels du nom du premier ancêtre connu. Le nom Marsilius n’est pas familier à Strasbourg au XIIe et au XIIIe s. Seul un moine du couvent Saint-Arbogast le porte avant 1200 (voir Urkundenbuch I n° 115). En revanche, il est relativement répandu à l’époque à Cologne et aux environs de cette ville. Parmi les bourgeois colonais portant ce nom il y a aussi un pellifex c’est-à-dire un fabricant ou marchand de fourrures. Or, le Heinrich Marsilius, mentionné dans les deux documents cités, appartenait aux Kammerkürschner de la cour épiscopale et comme tel peut avoir été en relation commerciale avec les pelletiers de Cologne, ce qui expliquerait peut-être la première mention du nom Marsilius à Strasbourg. Quoiqu’il en soit de l’apparition du nom à Strasbourg, notre Heinrich Marsilius fait parti du patriciat strasbourgeois et est membre du conseil (Rat). L’évêque Heinrich v. Stahleck © lui conféra en fief en 1246 quatre manses à Vendenheim (Urkundenbuch I n° 302). Peu après 1300 un Heinrich avec son frère Wetzel sont désignés désormais chevaliers (Ritter) et l’entrée dans la noblesse est assurée à leurs descendants.

La plus fiable des nombreuses généalogies publiées, est celle de F. Schmidt-Sibeth (voir bibliographie) que nous avons largement utilisée. Les difficultés de filiation sont essentiellement dues à l’homonymie des noms qu’on rencontre, notamment aux XIIIe et XIVe siècles, et à la rareté de renseignements précis concernant les plus anciens membres de la famille. Ainsi le Sigfried, mentionné en 1224/28 et payant des loyers pour des terrains appartenant au chapitre cathédral, est sans doute un fils du Marsilius cité plus haut et identique au Sigelin payant deux onces de redevances à la même époque (Urkundenbuch IV1, p. 28).

En 1263 un Wezelo Marsilio est membre du conseil ; en 1267 et 1273 un Heinrich Marsilius remplit les fonctions de Stettmeister ; il est peut-être identique au Hausgenosse du même nom mentionné en 1283. Son épouse se prénommait Anna et est citée en 1275 et 1294 (Urkundenbuch, t. 3, n° 75 et n° 322). Vers la même époque un Wetzel Marsilius, également signalé comme Hausgenosse en 1266 avec son fils Heinrich, est peut-être identique au chargé d’affaires (procurator) des Franciscains entre 1276 et 1301. Selon Kindler v. Knobloch et J.-J. Hatt, étaient aussi Stettmeister : Goetze Marsilius (1276, 87, 88) ; Heinrich Wetzel (1303); Wetzel Marsilis (1353, 1358); Heintzeman Wetzel (1357, 1361); Reimbold Wetzel (1395); Wetzel Marsilius (1387); Reimbolt Wetzel (1445, 47, 52) ; plusieurs autres figurent dans les listes des Hausgenossen dont l’association est une véritable citadelle du patriciat strasbourgeois entre 1266 et 1437 (voir Urkundenbuch I, p. 485 et suiv.).

Plusieurs membres de la famille avaient des fonctions religieuses. En plus du moine de Saint-Arbogast, déjà signalé plus haut, il y a lieu de noter: Heinricus dictus Marsilius, recteur de l’Église rouge en 1269; Junta Marsilius, religieuse à Sainte-Claire au Marché aux Chevaux, décédée au début du XIVe s. après avoir fait partie du couvent pendant 52 ans; plusieurs membres de la famille étaient chanoines de Saint-Thomas : Nicolaus, écolâtre (scholasticus) (1350) construisit la tour de croisée de l’église Saint-Thomas (M. Barth col. 1510) († 22.11.1366) ; Johann Wetzelonis, fils du chevalier Heintzmann Wetzel, scholasticus (1369), cantor (1386) († 4.2.1402) ; Johann Wetzel von Marsilien, chanoine depuis 1510 († 8.9.1538) ; Kunigund, abbesse de Saint-Étienne († 22.8.1566). Un Johann semble être mort en 1386 comme moine de l’ordre de Saint-Jean, tandis qu’un Heinrich entra dans l’ordre teutonique en 1545 alors que la famille avait déjà passé au luthéranisme.

En ce qui concerne les alliances matrimoniales, les Wetzel von Marsilien tinrent à respecter leur rang social : comme eux-mêmes, leurs épouses sont issues du patriciat d’abord, de la noblesse strasbourgeoise et alsacienne, ensuite: v. Kageneck, Zorn v. Bulach, v. Andlau, v. Berckheim, v. Boecklin, v. Boecklinsau (voir la généalogie établie et publiée par Friedrich Schmidt-Sibeth dans le livre d’or de Strasbourg en 1991 (Cercle généalogique d’Alsace, p. 57-77). La branche masculine s’éteignit avec Philippe Reinhart (★ 17.9.1720 † 16.2.1797).

  1. Reimbold,

écuyer (Edelknecht) († 12.5.1458), quitta Strasbourg en 1420 avec plusieurs autres membres de la noblesse. De retour en ville en 1422 ; membre du Rat de 1445 à 1452 ; Stettmeister 1445, 1447 et 1452 ; copropriétaire du château d’Ortenberg. ∞ avant 1431 Susanna Zorn v. Bulach, fille de Nikolaus Zorn v. Bulach. et de Susanna Bock. Ancêtres de tous les Wetzel von Marsilien qui suivent.

  1. Heinrich,

∞ I Agnes Hag, fille de Jacob Hag, bourgeois de Strasbourg, ∞ II (après 1484) Margaretha von Andlau, fille de Lazarus von Andlau ∞ III (avant 1504) NN von Ratsamhausen-Ehenweier. Reçut les fiefs du margrave de Bade (24 mai 1458); fut fait prisonnier par Jacob v. Lichtenberg pour avoir agressé un de ses serviteurs (1460); copropriétaire du château d’Ortenberg (1468-1487), avoué (Vogt) du comte palatin à Sainte-Croix (Haut-Rhin) (1505), bailli épiscopal à Epfig (1501-1518).

  1. Philipp,

∞ avant 1471, Claranna Kalwe v. Schauenburg, fille d’Adam Kalwe v. Schauenburg et de Phya Hack v. Harthausen. Maître d’œuvre au château d’Ortenberg (1470), prit part à la guerre contre Charles le Téméraire (1475), bailli épiscopal à Oberkirch, Bade (1482). Pierre tombale au château de Gaisbach, Bade.

  1. Jacob,

∞ vers 1550 Elisabeth Kempf von Angreth, fille de Daniel Kempf von Angreth et d’Anna Schaller v. Leiman. Encore mineur en 1545. Prit part aux guerres contre les Turcs en Hongrie et contre le roi de France ; acquiert 1/6e de Jebsheim avec son
frère Reimbold de Hanemann v. Neuenstein ; bailli de Guebwiller en 1565.

  1. Jacob (dit l’aîné),

fils de Heinrich Wetzel von Marsilien et de Margaretha v. Andlau ; ∞ 1498 Clara v. Hattstatt, fille de Heinrich v. Hattstatt et de Catharina v. Stauffenberg. Participa à l’entrée de l’évêque à Strasbourg en 1507 ; bailli épiscopal à Epfig (1514-1518); Oberschultheiss de l’évêque à Strasbourg (1524). Acheta le droit de bourgeoisie à Strasbourg en 1528 et s’inscrivit au poêle de la Haute Montée. Fut autorisé d’habiter à l’intérieur ou en dehors de Strasbourg ; membre du Rat (1533-1541) ; membre des Quinze (1536- 1543); obtint de Charles Quint le village de Bilzheim, Haut-Rhin (1539) ; propriétaire de plusieurs fiefs à Eckbolsheim, Wolfisheim et Bischoffsheim. Renonça au droit de bourgeoisie le 28 août 1543. Prêta 1000 florins à l’électeur palatin (1545) ; ne vit plus le 8 juin 1563. Son fils Nicolaus épousa Apollonia v. Wattwiller.

  1. Martin,

(★ inconnue † 24.1.1554). Fils de Jacob Wetzel von Marsilien († 1524/1525) qui acquit le droit de bourgeoisie le 20 février 1505, et de Catharina Mueg, fille de Jacob Mueg ∞ 30.10.1531 Ursula Zorn zum Riet, fille de Jacob Zorn zum Riet et d’Elisabeth Museler; inscrit au poêle de la Haute Montée ; renonça au droit de bourgeoisie le 28 août 1548 ; membre du Rat en 1540-41, 1544-45 et 1553-54 ; membre du Conseil des Quinze en 1548 ; détenait des fiefs de l’évêque de Strasbourg et des comtes de Hanau-Lichtenberg ; un prêtre catholique officia encore en 1544-47 dans la chapelle de son domicile strasbourgeois.

  1. Georg Gustav,

le seul membre du célèbre lignage qui a joué brièvement un rôle politique et militaire au service du roi de Suède pendant la guerre de Trente Ans a été Georg Gustav Wetzel von Marsilien (★ inconnue † 28.12.1634). Fils d’Alexander Wetzel von Marsilien (★ Jebsheim, Haut-Rhin, 1565 † 20.9.1598) et de Margarethe v. Selbach, fille de Conrad v. Selbach et de NN. v. Nattenheim. ∞ 17.4.1627 à Eckbolsheim Margarethe Helene Sturm († 7.3.1679); 1 enfant: Georg Eberhard. Le nom de Georg Gustav apparaît pour la première fois en 1599 lors de la cérémonie d’investiture d’un fief épiscopal. Le père de Georg Gustav avait participé à la guerre de Hongrie en 1588-1589 et avait été envoyé en mission à Constantinople auprès du sultan. De retour en Alsace il entra en 1590 au service du comte palatin Georg Hans de Veldenz qui résida souvent à La Petite-Pierre tandis que son épouse Margarethe devint dame de cour (Hofdame) de la comtesse palatine. Georg Gustav fut mis en relation avec le roi de Suède par Georg Hans de Veldenz. Après avoir servi d’abord dans l’armée du margrave de Bade Georg Friedrich, Georg Gustav entra au service du comte Ernst de Mansfeld en 1622. Par la suite on le trouve chez le duc de Wurtemberg comme Rittmeister, puis Obervogt d’Urach (Wurt.). En 1633 il obtint un poste auprès du chancelier suédois Oxenstirna à Francfort. Pour les bons services rendus à ce dernier, celui-ci lui fit une riche dotation en Alsace : l’abbaye de
Pairis près d’Orbey avec l’hôtel Bereiserhof à Colmar, plusieurs immeubles à Obernai appartenant à Heinrich Andreas Gail, conseiller impérial et épiscopal à Strasbourg, de nombreux revenus appartenant à l’abbé de Moyenmoutier à Obernai et environs, enfin les villages de Mutzig et de Herbolzheim (Bade). Ce dernier village lui fut attribué en même temps que le village de Widensolen (Haut-Rhin) par la ville de Colmar mais sur ordre d’Oxenstirna le 21 juin 1633. Après la défaite des Suédois à Nördlingen, début septembre 1634, Georg Gustav se réfugia à Strasbourg auprès du duc Eberhard de Wurtemberg où il mourut encore la même année le 28 décembre après avoir rédigé son testament en tant que königlich Schwedischen und der confoederierten Stände des Consily generalis Assessor, fürstlich Württembergischer Obervogt zu Urach und Oberstleutnant. Il y précisa que son fils Georg Eberhard devait être élevé dans la confession luthérienne et devra apprendre l’escrime, l’équitation et la danse. Sa veuve Margarethe Helene Sturm survécut encore 44 ans et mourut le 7 mars 1679. Elle put garder sous sauvegarde française les biens
reçus du chancelier Oxenstirna à l’exception de l’abbaye de Pairis qui passa dans les mains de Franz Huge, profès de l’abbaye de Lucelle, en vertu d’un brevet de Louis XIII du 10 mai 1643.

  1. Johann Peter,

(★ Strasbourg 4.7.1643 † 12.9.1709, enterré au cimetière Sainte-Hélène). ∞ 16.3.1675 Maria Beatrix v. Landsberg († 1683), fille de Johann David v. Landsberg et de Maria Salome v. Landsberg. Rat und Hofmeister du comte palatin Christian v. Birkenfeld; contestations avec ses sœurs au sujet de la succession laissée par les parents (1688); domicilié à Strasbourg en 1695; vice-délégué de la noblesse de Basse-Alsace (1701). Testament commun des époux (1675).

  1. Christian Eberhard,

(★ Appenweier, Bade 4.9.1681, baptisé à Sundhoffen 6.9.1681 † Strasbourg 7.4.1744). ∞ Mundolsheim 19.3.1716 Marie Félicité Joham de Mundolsheim, fille de Jean Philippe Joham de Mundolsheim, stettmeister et de Marie Félicité Wurmser de Vendenheim. Commença par être page du duc Friedrich Ferdinand de Wurtemberg (1704); lieutenant dans la garde ducale (1706); capitaine dans un régiment d’infanterie en Brabant (1713); termina comme colonel du Garde-Füsilierregiment (1717) et revint habiter à Strasbourg.

  1. Philippe Reinhard,

(★ Strasbourg 17.9.1720 † 16.2.1797) ; célibataire. Baron Wetzel de Marsilien à partir du 6 août 1773. Avec lui s’éteignit le lignage des Wetzel de Marsilien. Hofjunker du duc de Pfalz-Zweibrücken et capitaine dans le régiment du comte palatin Friedrich ; par la suite, Mecklenburg-Strelitzischer Hofmeister des jeunes fils de ce prince pendant leur voyage de formation et d’éducation; puis Hzgl. Meckl.-Strelitzischer Obermundschenk (1745-1752) ; a vendu sa maison à Ribeauvillé au Hofrat Radius à Strasbourg en 1764; a été partiellement exproprié par un décret de l’Assemblée nationale en 1792. Ce qui resta de sa succession a été vendu aux enchères le 29 mai 1797.

A. Hertzog, Edelsasser Cronick, Strasbourg, 1592, livre VI, p. 289-290 ; G. Bucelin, Germania topochrono-stemmato-graphica sacra et profana, Pars II, Ulm, 1662 ; Lehr, L’Alsace noble, 1870, t. 3, Paris, 1870, p. 506 (passim) ; Urkundenbuch der Stadt Strassburg, t. I-VII, Strasbourg 1879-1900 (surtout t. I, p. 529, passim) ; Kindler von Knobloch, Das goldene Buch von Strassburg, 1886, p. 415-418 ; Regesten
der Markgrafen von Baden… 1050-1515, Innsbruck, 1900-1915, 4 t. ; Regesten der Bischöfe von Strassburg, Innsbruck, 1908 et 1928, 2 vol. ; Ph. Dollinger, « Patriciat noble et patriciat bourgeois à Strasbourg au XIVe siècle », Revue d’Alsace, t. 90 (1950-1951, p. 56 et 67) ; Charles Wittmer et J. Charles Meyer, Le Livre de bourgeoisie de la ville de Strasbourg 1440-1530, Strasbourg, t. 3 (index), Strasbourg, 1961, p. 235 ; M. Barth, Handbuch der elsässischen Kirchen im Mittelalter, Strasbourg, 1960-1963, p. 1979 et 2011 ; J. Hatt, Liste des membres du Grand Sénat de Strasbourg… du XIIIe s. à 1789, Strasbourg, 1963, p. 568 (passim) ; H. Mosbacher, « Kammerhandwerk, Ministerialität und Bürgertum in Strassburg. Studien zur Zusammensetzung und Entwicklung des Patriziats im 13. Jh », Zeitschrift für die Geschichte des Oberrheins, t.119,1971, p. 33-173 (sur les Wetzel v. Marsilien, voir les p. 86-88) ; K. W. Littger, Studien zum Auftreten der Heiligennamen im Rheinland, München, 1975, p. 120 et suiv. (concerne l’apparition du nom Marsilius) ; F. Schmidt-Sibeth, « Caroline v. Kamecke geb. Wetzel v. Marsilien, Freundin und Hofdame der « Grossen Landgräfin » », Genealogie, Heft 3/1974, p. 69-77; Idem, « Die Anfänge der Wetzel v. Marsilien in Strassburg », Annuaire de la Société des Amis du Vieux-Strasbourg, 1977, p. 105-113 ; T. A. Brady, Ruling Class, Regime and Reformation at Strasbourg 1520-1555, Leiden, 1978, p. 353, 354, 371, 449 (passim) ; F. Schmidt-Sibeth, « Marsilius, der erste Schulze Berlins. Herkunft und Name », Der Herold, Vierteljahrsschrift für Heraldik, Genealogie…, t. 11, Jg. 29, 1986, H. 10, p. 309-314 ; M. Alioth, Gruppen an der Macht. Zünfte und Patriziat in Strassburg im 14. und 15 Jh., Bâle, Francfort, 1988 (voir index dactylographié de B. Metz, p. 75 (passim) qui nous a aussi signalé les publications de F. Schmidt-Sibeth) ; Livre d’Or de Strasbourg. Trois grandes familles strasbourgeoises XIIIe s. au XXe s. ; Wetzel de Marsilien, Sturm, Oesinger, Paris, 1991, p. 3-77 ; F. Schmidt-Sibeth, « Ein Strassburger als schwedischer Offizier und Diplomat im Dreissigjährigen Kriege (Georg Gustav Wetzel v. Marsilien) », Genealogisches Jahrbuch, t. 39, 1999, p. 187-194.

† François-Joseph Fuchs (2002)