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LÜTZELSTEIN (LA PETITE-PIERRE), comtes de

1. Hug(ues),

fils du comte Folmar de Blieskastel et de Clémence de Metz, est cité de 1172 (RGS 54) à 1212 au moins (G.C, Croll, Westr. Abhdlgen I, 58). Il se nomme souvent de Lunéville ©, et — à partir de 1184 (Reg. lmp. IV/3, n° 3) — parfois de Lützelstein. Avant lui, un noble Walterus de Parvapetra, mentionné une seule fois, avant 1180 (Metz, 34), et manifestement étranger à la famille, a porté le nom du château. Rien ne prouve qu’il l’ait tenu en fief de Hug, qui pourrait aussi en avoir hérité par mariage. On ne sait donc pas qui a bâti le château de Lützelstein. Hug a été marié à la Wildgräfin Kunegund (Monumenta Germaniae Historica, Scriptores 23, 851, 853) ; il est père de Conrad de Riste et de Hug © 2.

2. Hug II,

cité de 1212 à 1248 au moins. Ayant perdu une guerre contre l’évêque de Strasbourg, il doit lui faire oblation du château de Lützelstein en 1223 (Regesten der Bischöfe von Strassburg, Innsbruck, 1908, II, 877). En 1423-1446, il cède au duc de Lorraine pour 4800 livres Lunéville, ainsi que Valfroicourt et Gerbéviller, qu’il tient de sa deuxième femme Joatte, fille et héritière de Philippe de Gerbéviller, cousin du duc (Lemercier de Morière, Catal. des actes de Matthieu II, intr. et index). C’est également elle qui lui a apporté Bergheim, fief ducal (Lemercier n° 297), qui deviendra l’apanage de son fils cadet Philipp [von Reichenberg ©]. Depuis 1246, Lützelstein — sur la frontière même de l’Alsace et de la Lorraine — est sa résidence principale, mais la famille restera tournée vers l’Ouest plus que vers l’Est jusque vers la fin du XIVe siècle.

3. Hug III,

succède à son père Hug © 2 au plus tard en 1253 (Archives départementales Meurthe-et-Moselle, H 3223). De sa femme Elisabeth von Saarbrücken, il a au moins 7 enfants dont Emicho, chanoine du Grand Chapitre de Strasbourg (1264-1295 1301 † : Levresse 16-18), Simon, écuyer (1271-1294 1301 †) et Hug © 4, qui lui succède entre 1289 et 1294. H. III a procédé à quelques aliénations, qui témoignent d’embarras financiers (allusion à des dettes pressantes en 1276 : Archives départementales du Bas-Rhin, G 5655 f° 13v). Ceux-ci semblent s’aggraver sous

4. Hug IV,

qui vend dès 1294 des biens à Amenoncourt et Rohrbach pour 470 livres (Regesten der Bischöfe von Strassburg, Innsbruck, 1908, II 2345-47) ; pas plus que son frère Simon, il n’a été armé chevalier, et il ne porte jamais le titre de comte.

5. Nicolaus,

fils de 4 et d’Élisabeth (de Fénétrange © ?). ∞ Katharina von Bolchen (Boulay) et succède à son père entre 1304 et 1306. Avec son cousin Hug von Fleckenstein, il profite de l’interrègne de 1314 pour s’en prendre à Strasbourg et Haguenau; les bourgeois ripostent en incendiant cinq villages proches de Lützelstein La Petite-Pierre (Urkundenbuch der Stadt Strassburg, II, index). Nicolaus. n’est pas chevalier et ne porte qu’occasionnellement le titre comtal. Il meurt entre 1316 et 1318 (Archives départementales Moselle, H 3896). A cette date (son fils ?)

6. Folmar,

qui lui succède, semble encore mineur, sous la tutelle de Henri de Fénétrange (Heinrich von Finstingen) (Urkundenbuch der Stadt Strassburg, II, n° 482), dont il épouse la fille Adelheid en 1328 (Archives départementales du Bas-Rhin, G 3464/99). Attesté jusqu’en 1366, il intervient activement dans la politique alsacienne, et surtout lorraine, en participant à des arbitrages, des Landfrieden, des alliances, des guerres (contre les Lichtenberg en 1331, contre les Zweibrücken-Bitsch en 1358-1362, contre Metz en 1368). Il fait oblation au duc de Lorraine de ses châteaux de Sarreck (1343 : Archives départementales Meurthe-et-Moselle, B 384 f° 156v) et de Sarreinsming (1366: Ibidem f° 154r). On ne lui connaît pas d’embarras financiers. Folmar laisse de nombreux enfants (on ignore si Nicolaus von Lützelstein, prieur de Varangéville en 1366, abbé de Gorze de 1377 à sa mort en 1380, est du nombre : Knod n° 2218). Katharina ∞ Ludwig von Kirkel en 1359 (Urkundenbuch der Stadt Strassburg, VII n° 944). Walburg ∞ Friedrich von Geroldseck am Wasichen ©, et vit jusqu’en 1403 au moins (Archives départementales du Bas-Rhin, 36J 3/485). Margrede, chanoinesse d’Erstein dès 1374, en devient la dernière abbesse en 1396 et meurt en 1422 (Friedel). 4 fils sont chanoines de Strasbourg (Levresse ; Urkundenbuch der Stadt Strassburg, VI-VII, index): Folmar, chanoine en 1359 ; camérier en 1370, doyen en 1381, archidiacre ultra Rhenum en 1385 († 1397/1398); Friedrich, chanoine en 1364 (Levresse 24), camérier en 1378 († 1380) ; Burkhard © 8 ; enfin

7. Heinrich,

chanoine en 1358-1359, retourne à l’état laïc avant 1370 (voire 1362) pour succéder à son père. II ∞ I Henriette de Bar (1373-1379, d’une branche cadette: Acta Academiae elect. Theodoro-Palatinae 1.1766, 60-64), puis ? II Margrede von Baden (1384 : RGS 532). Comme son père, il joue un rôle très actif dans les alliances et les guerres de Basse Alsace et du Westrich; il participe notamment à la guerre contre Jean de Vergy, qui aboutit à la prise de Châtillon (près de Cirey) en 1382, et à celle de l’évêque contre la ville de Strasbourg en 1392 (Urkundenbuch der Stadt Strassburg, VI, index; Königshoven, ed. C. Hegel, II 807, 980). En 1382, il fait oblation à l’Empire (de qui les Lützelstein n’étaient pas vassaux jus- qu’alors) de huit villages et du péage de Lützelstein; en retour, le roi lui confère un péage sur tous les passages vosgiens entre Alt-Puberg et Saint-Quirin (G. C. Croll, Orig. Bipont. I 286). Il doit cependant en ristourner une part au duc de Lorraine (Archives départementales Meurthe-et-Moselle B 734/8 : 1384). C’est apparemment dans ce contexte qu’il bâtit le château d’Einhartshausen, à l’emplacement du futur Phalsbourg, sur la route du col de Saverne, entre 1383 et 1388 (LU II 1411, 1509). Il est également très actif sur le plan financier, achète au duc de Lorraine avant 1382 une rente de 800 francs (Schlossarchiv Ebnet A 154), et prend Sarrebourg en gage de l’évêque de Metz en 1381 (H. Lepage, Le départ. de la Meurthe, II 535), mais engage de nombreuses terres (par exemple Weinbourg, Wingen, la dîme de Waldhambach en 1374 : Archives départementales du Bas-Rhin, E 4346/8) et emprunte de fortes sommes (la plus grosse : 13 250 florins en 1381, Archives départementales du Bas-Rhin, 47J 25) à des Juifs et à des patriciens de Strasbourg. Il meurt en 1403, ne laissant qu’une fille, Else (∞ avant 1382 le comte Johann von Leiningen-Rixingen : Archives départementales du Bas-Rhin, G 6224/15). Lui succède son frère

8. Burkhard,

chanoine de Strasbourg en 1374, cellérier en 1382 (Urkundenbuch der Stadt Strassburg, VII n° 2019), prévôt en 1387 (Archives départementales du Bas-Rhin, 36J 3/422). Lorsqu’en 1393 le pape mute l’évêque Friedrich von Blankenheim © à Utrecht et lui donne comme successeur Wilhelm von Diest ©, le Chapitre unanime refuse cette nomination et élit Burkhard, qui prend aussitôt possession de l’évêché. La ville de Strasbourg, d’abord neutre, prend parti pour Wilhelm et finance sa guerre contre Burkhard, qui finit par renoncer à l’évêché contre une indemnité de 20 000 florins et la jouissance viagère de lObermundat (Alioth I 26). À la mort de Heinrich, le roi Ruprecht veut récupérer ses fiefs: les huit villages et les péages de Lützelstein et d’Einhartshausen. Pour les conserver, Burkhard est obligé de céder à la maison palatine 1/4 des villages et surtout du château, de la ville et du péage de Lützelstein. L’évêque de Strasbourg obtient 1/4 de Lützelstein (fief tenu de lui depuis 1223), et Johann von Leiningen, gendre de Heinrich, 1/8e de Lützelstein et 3/8es d’Einhartshausen (Reg. Pfalzgr. II, index). Burkhard reste grand prévôt jusqu’en 1412, date à laquelle, avec une dispense pontificale (Berler 42), il épouse Agatha von Hohenfels ; celle-ci étant morte sans fils en 1415 (ibidem), il se remarie aussitôt avec Gillette de [Faucogney-] Villersexel, qui lui donne 2 fils en 3 ans. Son mariage frustre les Leiningen de leur espoir d’hériter de lui ; aussi l’expulsent-ils en 1413 de Lützelstein et d’Einhartshausen. Il ne les récupère, péniblement, en 1414, que par l’intervention du Palatin (Archives départementales du Bas-Rhin, E 352) — ce qui aggrave la dépendance de Burkhard envers lui : il lui fait oblation d’Einhartshausen (Archives départementales du Bas-Rhin, E 1074/14) et devient son rat und diener (Archives départementales du Haut-Rhin, 19J 139). Par ailleurs, Burkhard, qui a été Landvogt de Catherine de Bourgogne © en Haute-Alsace en 1411-1413 (Rappoltst. Urkb. III n° 46, 71 ; IV n° 1160c), prend en gage de l’évêché Jungholtz et, en 1411, Châtenois et la seigneurie de Frankenburg(Archives départementales du Bas-Rhin, G 2702), qu’il conserve, tout comme l’Obermundat, jusqu’à sa mort, le 1erseptembre 1418. Il est enterré, avec sa femme, morte quelques jours plus tard, dans le chœur de l’église de Lützelstein La Petite-Pierre, qu’il venait de rebâtir, sans doute dans l’intention d’y fonder un chapitre de chanoines.

9. Jakob et Wilhelm, fils de Burkhard et de Gillette de Villersexel

qui n’ont guère connu leurs parents, ont grandi sous la tutelle intéressée de l’Électeur palatin. Jakob ∞ 1437 Walbourg de Blâmont († 1454), Wilhelm ∞ Margarete von Rodemachern (Rodemack). Leur sœur Johanna, sans doute née du premier lit, ∞ 1432 le comte François de la Roche, seigneur de la Palud et de Varambon. Majeurs vers 1434, engagistes de la seigneurie de Belfort de 1442 à 1447 (Bulletin de la Société belfortaine d’émulation, 49. 1935, p. 56), les deux frères se signalent bientôt par un goût irréfléchi pour les guerres privées, qui à cette date est plus typique de la petite que de la haute noblesse. En 1442, ils participent à la « guerre des Allemans » contre Metz (Lehr 513). Leurs terres ayant souffert du passage des Armagnacs en 1444, ils les combattent vigoureusement. En 1446, ils attaquent le cardinal d’Arles, légat du concile de Bâle, qui leur échappe de justesse (Berler 65). En 1447, ils prennent Bitche par surprise, comptant sur l’appui du duc de Bourgogne. L’Électeur palatin, le duc de Lorraine et le margrave de Bade s’allient contre eux, bombardent et prennent Lützelstein, qui ne leur est rendu qu’en échange de Bitche. Cette défaite resserre leur dépendance envers le Palatin ; mais peu après, les problèmes successoraux de la maison palatine leur donnent l’occasion de s’émanciper. Ils chassent les garnisons palatines de leurs châteaux en 1449. Alliés aux Lichtenberg ©, ils combattent depuis 1450 les Leiningen (Linange ©), les Ochsenstein et les Mörs-Saarwerden. C’est à Lützelstein que Schaffried von Leiningen, capturé à la bataille de Reichshoffen en 1451, est d’abord emprisonné. Il est libéré par l’Électeur palatin Friedrich en 1452 : ce dernier, ayant affermi son pouvoir, s’empare de Lützelstein après six semaines de siège et confisque à Jakob et Wilhelm, pour félonie, tout ce qu’ils tenaient en fief de lui. Il ne leur reste plus guère que les fiefs messins, avec 1/8e de la Marche de Marmoutier (Jungholtz a été vendu dès 1419, Frankenburg et Châtenois en 1449). Ils en sont réduits à se réfugier chez leurs parents en Lorraine et en Franche-Comté, d’où ils poursuivent une absurde guérilla contre le Palatin et ses alliés, avant de s’éteindre sans enfants légitimes, Jakob avant le 14 mai 1456 (Rappoltst. Urkb. IV n° 533), Wilhelm entre 1458 et 1462. Le fils de leur sœur, Philibert de la Roche, n’hérite d’eux qu’un titre vide et quelques fiefs à conférer (Rappoltst. Urkb. III-V, index).

D’autres personnages se nomment von Lützelstein sans appartenir au lignage ci-dessus : le noble Walter au XIIesiècle (voir plus haut) ; quelques chevaliers de la garnison du château de Lützelstein (Burgmannen) à la fin du XIIIesiècle, et plusieurs bâtards au XVe siècle, en particulier Heinrich Grefe von Lützelstein, dont on ne connait pas le père. Il est connu surtout pour les guerres privées auxquelles il a participé : contre Cernay en 1422 (Reg. Markgr. I h 1052), le margrave de Baden-Hachberg en 1423 (ibidem 3563), les Rappoltstein en 1437 (Rappoltst. Urkb. III n° 941), la ville de Sélestat en 1448, affaire qui a mal fini pour lui (Berler 66). Il est encore mentionné en 1459 (inv. Archives départementales du Bas-Rhin, 8J 395), avec ses fils Jacob et Wilhelm (!), qui ont suivi ses traces (Quellen & Erört. zur bayr. & deutschen Gesch. II 206: 1461).

Les Lützelstein descendent du cadet, généreusement doté, d’un clan familial très ancien et très noble. Eux-mêmes ont pratiqué la même largesse envers le premier des Riste et des Reichenberg. Mais ils n’en avaient plus les moyens. La vente de Lunéville témoigne d’une crise sévère : dans la 2e moitié du XIIIe siècle, les Lützelstein sont tombés bien bas; leurs mariages (avec des familles ministérielles ou au mieux baronniales) en témoignent, et ils en tirent les conséquences en renonçant plus ou moins au titre comtal. Le XIVe siècle, période de crise pour tant d’autres, marque pour eux un redressement, dont Folmar © 6 semble l’artisan, mais dont le ressort nous échappe. L’influence prédominante acquise par les Lützelstein au Grand Chapitre de Strasbourg dans la 2e moitié du siècle en est une conséquence plutôt qu’une cause. C’est sous Heinrich © 7 qu’ils atteignent leur apogée et deviennent les gardiens des cols des Basses-Vosges au prix d’un marché périlleux avec le roi: si, pour celui-ci, l’oblation de Lützelstein valait la concession du péage d’Einhartshausen, c’est qu’il espérait récupérer bientôt sa mise, Heinrich n’ayant pas de fils (et ne prévoyant certainement pas que Burkhard © 8 lui succéderait et ferait souche). 

La volte-face de Burkhard en 1403 l’expose à un véritable chantage de la part du roi Ruprecht, qui ne lui concède les fiefs d’Empire des Lützelstein qu’en échange de concessions qui le mettent sous le protectorat de la maison palatine : c’en est fini de l’indépendance que les Lützelstein — en typiques barons de la frontière, vassaux de tous les princes et soumis à aucun — avaient su préserver jusqu’alors. C’est en voulant secouer le joug palatin que les fils de Burkhard ont couru à leur perte.

Les biens des Lützelstein sont difficiles à saisir (Metz, 8-9) : les sources font surtout apparaître ceux qu’ils cèdent, et ce sont en général les plus périphériques. Lorrains d’origine, ils apparaissent d’abord possessionnés en Lorraine, autour de Wallerfangen (biens acquis des comtes de Saarbrücken par mariage), de Boulay et de Bitche, le long de la Sarre, de Sarrebourg à Sarreguemines, et dans l’Alsace Bossue. Ils ont tenu quelque temps (jusqu’en 1282 ?) le château de Wegelnburg, bien d’Empire sans doute usurpé sous l’Interrègne. Sinon, entre 1246 et 1343, on ne leur connait d’autre château que Lützelstein. Puis viennent s’y ajouter Saareck, Sarreinsming, Einhartshausen, (Bourscheid ?). À la fin du XIVe siècle, les Lützelstein changent radicalement d’orientation : alliés à des familles alsaciennes, comme les Geroldseck ©, et bien implantés au Chapitre de Strasbourg, ils acquièrent en Alsace des seigneuries (Marche de Marmoutier, Obermundat, Frankenburg) et des biens isolés (1/2 patronat et dîme de Rumersheim, 1/8e de Wangenburg, etc.) ; mais ces possessions, souvent tenues en gage, sont beaucoup plus volatiles que leurs biens anciens. Au total, s’il n’est guère possible d’apprécier globalement la fortune du lignage, ni son évolution du XIIe au XVe siècles, l’impression prévaut qu’elle était bien modeste. Des familles non comtales comme les Ochsenstein, les Fénétrange ©, et même les Fleckenstein ©, étaient probablement plus riches et plus puissantes que les Lützelstein.

M. Berler, Chronik, dans Code hist. et diplom. de la ville de Strasbourg, II, 1848; E. Lehr, « Notice historique et généalogique sur les comtes de La Petite-Pierre », Revue d’Alsace (NS 2), 1873, p. 485-517 (dépassé, surtout pour les origines); G. C. Knod, Deutsche Studenten in Bologna, 1899 ; R. Friedel, Gesch. des Fleckens Erstein, 1927 (pour l’abbesse Margrede) ; H. W. Herrmann, Gesch. d. Grafschaft Saarwerden, I, Quellen, 1957 (cité RGS) ; R.-P. Levresse, « Prosopographie du Grand Chapitre de Strasbourg », Archives de l’Église d’Alsace, 34 (NS 18), 1970, p. 1-39 ; M. Parisse, La noblesse lorraine, 2 vol., 1976 ; B. Metz, « Le château et la ville de La Petite-Pierre/Lützelstein dans les sources écrites médiévales », Études médiévales (suppl. archéol. à Pays d’Alsace), 4, 1987, 5-35 & 86-87 ; M. Alioth, Gruppen an der Macht, 2 vol., 1988 (index par B. Metz disponible aux Archives municipales de Strasbourg) ; D. Schwennicke, Europäische Stammtafeln, Neue Folge XV (familles de Villersexel et de la Roche); F. Battenberg, Lichtenberger Urkunden (Repert. d. hessischen Staatsarchivs Darmstadt, 2), 2 vol. parus 1994, index prévu au t. 5 (cité LU).

Bernhard Metz (1995)