Compositeur de musique, (C) (★ Roppentzwiller 15.4.1866 † Altkirch 14.9.1897).
Fils de Louis Kayser, instituteur, et de Henriette Hoffstetter. ∞ Marthe Busch, d’Altkirch. Il reçut sa première formation chez son père qui avait reçu à l’École normale de Colmar une excellente formation musicale. Kayser devint professeur de musique au collège Saint-Joseph de Reims en 1882.
Il est l’auteur d’œuvres pour orchestre : Ouverture symphonique, Le chant de mort ; pour piano : Rêverie capricieuse, Lied, Le héros paysan, Nocturne, Souvenir de vacances (valse expressive), transcription de l’Ouverture symphonique ; pour orgue : Justus ut palma, Puer natus est nobis, Tantum ergo, Divine extase, Kyrie, Gloria, Messe en fa pour deux voix, Ouverture, Livre d’orgue comprenant préludes, fugues et chorals, Offertoire sur saint Joseph (inachevé). Divers : Polka des Hirondelles, Empfindung meiner Liebe zu dir, teuere Martha.
R. Muller, Anthologie des compositeurs de musique d’Alsace, Strasbourg, 1970 ; M. Schmitt, « Œuvre et généalogie d’un compositeur né dans le Sundgau, J. E. Kayser », Bulletin du Cercle généalogique d’Alsace, 74, 1986, p. 15-18.
René Muller et Christian Wolff (1993)