Portraitiste, (C) (★ Mulhouse 30.6.1849 † ?).
Fils de Charles Nicolas Jean Baptiste Gérardin, contrôleur des contributions indirectes, et de Madeleine Élisabeth Choquin. Élève de Lecoq de Boisbaudron à Paris de 1867 à 1870. Exposa à Paris à partir de 1875 aux Salons des Artistes français, de la Société nationale des Beaux-Arts et dans différentes galeries. Paysagiste portraitiste, Gérardin se fit surtout connaître par ses natures mortes. Il fut aussi l’illustrateur de différentes œuvres dont : Les Ballades de F. Villon, 1895 ; Les Fêtes galantes de Verlaine, 1899.
Thieme-Becker, Allgemeines Lexikon der bildenden Künstler von der Antike bis zur Gegenwart, XIII, 1920, p. 440 ; Bénézit, Dictionnaire critique… des peintres, sculpteurs, dessinateurs…, IV, 1976, p. 681 ; Dictionnaire de biographie française, XV, 1981, 1246 ; M. Osterwalder, Dictionnaire des illustrateurs 1800-1914, Paris, 1983, p. 419 ; Bauer-Carpentier, Répertoire des artistes d’Alsace des dix-neuvième et vingtième siècles, Peintres-sculpteurs-graveurs-dessinateurs, Strasbourg, Édit. Oberlin. II, p. 112 ; François Lotz (en collabor. avec J. Fuchs, L. Kieffer, R. Metz), Artistes-peintres alsaciens de jadis et de naguère 1880-1982, Kaysersberg, Éditions Printek, 1987, p. 118.
Isabelle Blondé et Élisabeth Buchi (1988)
